Des doutes pour Verstappen ? "Je ne sais pas si nous sommes assez rapides"

F1 News

Verstappen de nouveau interrogé sur l'affaire Horner
28 février à 14:09
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Il n'aura fallu que quelques minutes pour que Max Verstappen se voie à nouveau poser des questions. Lors de la conférence de presse précédant le Grand Prix de Bahreïn, il a été demandé au pilote ce qu'il pense de la situation entourant le patron de son équipe, Christian Horner. Comme on l'avait déjà constaté lors de la présentation de la RB20 et pendant les journées d'essai, c'est un sujet sur lequel Verstappen préfère ne pas trop s'attarder.

Ainsi, lorsqu'on lui demande dans quelle mesure toutes les histoires sur le comportement inapproprié présumé de Horner ont un effet sur Verstappen, le pilote de Red Bull Racing répond : "Ce n'est pas le cas, je suis très concentré sur la seule performance de la voiture, sur moi-même, et j'espère que tout cela sera simplement résolu très bientôt."

Verstappen espère l'unité au sein de Red Bull Racing

Dans le passé - lorsque Helmut Marko était sous le feu des critiques après ses déclarations sur les Mexicains, Verstappen a déclaré qu'il était important d'afficher l'unité au sein de l'équipe. Avec l'affaire Horner, le Néerlandais a le même sentiment. "Oui, je veux dire que c'est un effort de toute l'équipe que tout le monde doit se serrer les coudes et travailler pour plus de succès, et c'est pourquoi il est important, bien sûr, d'obtenir tout, disons, un résultat bientôt", a déclaré Verstappen.

Ce qui est plus important pour lui, c'est le premier Grand Prix de la saison qui aura lieu samedi. Red Bull Racing semble être le favori. "Le temps nous dira s'ils [les autres équipes de F1 ] sont assez rapides ou non. Je ne sais pas non plus si nous sommes assez rapides. Bahreïn est un circuit particulier. Il y a beaucoup de pistes différentes sur le calendrier où vous devez être performant. En général, il vaut mieux ne pas y penser. Alors il suffit de se réveiller, d'aller sur la piste, de voir le résultat, s'il est bon ou mauvais, ça ne va rien changer, donc c'est comme ça que je l'aborde, mais on verra."